Trente ans après l’avoir perdue de vue, Jean-Baptiste retrouve par hasard sur le net une amie d’enfance anglaise qui a connu les mêmes souffrances que lui.
Sa solution pour recouvrer son équilibre : se baigner chaque matin dans la mer Celtique et rechercher en permanence ses sensations d’enfant.
En raison des restrictions sanitaires, Jean-Baptiste doit attendre deux ans avant de pouvoir aller lui rendre visite en Cornouailles.
Pendant ces deux années, s’enchaînent pour Jean-Baptiste des rencontres inattendues avec différentes personnalités qui réagissent aux problèmes auxquels il est confronté.
Chacune apporte son éclairage sur ces maux sociétaux et avance ses propositions pour sortir de l’impasse.
Peu à peu, un changement profond s’opère en Jean-Baptiste, dont l’aboutissement coïncide avec son séjour tant attendu en Cornouailles.
Au retour de ce voyage, l’écart entre ce qu’il est devenu et
son mode de vie le conduit à un burn out, qui vient confirmer la nécessité de changer de vie.
Les souffrances évoquées dans cette série sont soit largement couvertes par les médias (environnement, covid) soit plus insidieuses (la mal-bouffe, le manque d’altruisme, les conséquences de l’utilisation maladive des portables, etc.)
Au fil de ses échanges avec les différents intervenants, le personnage fictif opère un changement intérieur complet, amorcé par la première de ces rencontres : celle avec l’océanographe François Sarano, collaborateur du commandant Cousteau, qui lui glisse la phrase suivante : “Pour changer, il faut d’abord se retrouver avec soi-même, se reconnecter
avec la nature et, enfin, s’engager.”